Glossaire

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Pour connaître les mots difficiles ou techniques et les créateurs

A

  • En s’appuyant sur l’expérience, sur les faits constatés.

  • Qui appartient à l'abbé, à l'abbesse ou à l'abbaye.

  • L’abbaye de Saint-Pons fut fondée à la fin du VIIIème siècle sur la rive droite du Paillon. Elle est l’une des plus anciennes abbayes des Alpes-Maritimes.

  • Les abbés des fous, nommés par les autorités civiles et choisis parmi la population étaient chargés d’organiser les réjouissances publiques et de maintenir l’ordre.

  • Extrémité arrondie d'une église, abritant le sanctuaire, derrière le chœur (chevet) ; Sa forme en demi-cercle vient de la basilique romaine. L'abside principale, au bout de la nef centrale, accueille le maître-autel. Les absidioles sont à l'extrémité des collatéraux et du transept.

  • Dans les arts, l’abstraction rejette la représentation du réel. L’abstraction n’imite pas ou ne cherche pas à représenter la réalité des choses, par opposition à l’art figuratif.

  • L’abstraction lyrique est une forme d’expression artistique qui se développe à Paris dans les dernières années de la guerre 1939-1945 et connait son apogée en 1957. Les artistes de l'abstraction lyrique appliquent en quelque sorte les leçons de Kandinsky (considéré comme un des pères de l'abstraction), mais aussi de Hartung et de Miro. L'abstraction géométrique expose des figures géométriques connues et reconnues : un carré, une ligne. L'abstraction lyrique est vécue comme une ouverture, l'expression personnelle de l'artiste, en opposition, l'abstraction géométrique, ou Constructiviste.

  • Période ancienne de la préhistoire caractérisée par l’invention et le développement de du biface. L’Acheuléen débute il y a 1,7 millions d’années environ en Afrique et s’achève entre – 200 000 et – 120 000 ans après s’être développée sur une grande partie de la planète (Afrique et Eurasie).

  • Cours d'eau qui rejoint un autre cours d'eau généralement plus important en un lieu appelé confluent.

  • Désigne un renfoncement aménagé dans un mur pour un usage particulier. Dans une chambre, l’alcôve peut notamment accueillir un ou plusieurs lits.

  • Sorte de métaphore continuée, espèce de discours qui est d'abord présenté sous un sens propre, et qui ne sert que de comparaison pour donner l'intelligence d'un autre sens qu'on n'exprime point.

  • Mode d'expression consistant à représenter une idée abstraite, une notion morale par une image ou un récit.

  • ceci est un descriptif de Anim

  • Années folles 1919-1929 : Les Années folles est le nom donné à la période des années 1920, d’une grande vitalité intellectuelle et culturelle. Ces années se caractérisent par un désir de liberté et de joie de vivre, à la sortie des 5 années de la Première Guerre mondiale marquées par le conflit, les difficultés économiques et la censure. Les Années folles sont surtout un phénomène culturel, avec pour centre le quartier de Montparnasse à Paris, où écrivains, poètes, peintres, sculpteurs, photographes se côtoient. C’est aussi l'essor de la presse, de la radio et du cinéma. C’est le style Art déco, le Jazz, le surréalisme, Ernest Hemingway, Joséphine Baker, Coco Chanel. Les Années folles se terminent avec la grande crise de 1929.

  • Les anténéandertaliens sont des hommes fossiles, ancêtres directs des néandartaliens, ayant vécu en Europe occidentale de – 600 000 à – 120 000 ans. Ils sont également dénommés Homo heidelbergensis ou Homo erectus européens.

  • Forme ou caractère humain attribué à des divinités, des plantes, des animaux, des phénomènes physiques. Le carnaval est la fête du grotesque, mais aussi la fête d’un art populaire qui s’exprime avec diversité et originalité. L’anthropomorphisme règne dans le carnaval. Très souvent sont assemblées des têtes d’animaux, de végétaux ou encore d’objets sur des formes humaines, et vice-versa, jouant sur des effets comiques, burlesques, ou bien des formes monstrueuses, inquiétantes, chimériques.

  • Antipolis est le nom d’Antibes en grec ancien. Antipolis fut fondée dans la seconde moitié du Vle siècle avant Jésus-Christ (entre 550 et 500) par des colons phocéens établis à Massilia. Son nom signifie la ville d’en face.

  • Nom antique de la ville d’Antibes, qui signifie « la ville d’en face ».

  • Texte de Saint Jean l’Evangéliste qui vient ponctuer le Nouveau Testament. Saint Jean y relate les révélations qui lui auraient été faites après la mort du Christ.

  • Faste, éclat, pompe, solennelle.

  • Arc doublant une voûte pour la renforcer.

  • Arc formant un demi-cercle parfait.

  • Dans l'architecture religieuse, un arc triomphal) est un arc qui sépare la nef et le chœur d'une église.

  • En architecture désigne une ouverture percée sous un arc. Une arcade est, dans le sens courant, une série ordonnée de baies cintrées.

  • Style qui rappelle celui des époques passées.

  • L’arche en architecture désigne une structure qui adopte la forme géométrique proche de l’arc.

  • Baguette de bois (pernambouc) en forme d’arc où est tendue une mèche de crins de cheval. Frotté et adhérant sur les cordes à l’aide de la colophane, l’archet émet un son amplifié par la caisse de résonance d’un instrument à cordes.

  • Celui qui exerce, en qualité de maître, l'art de bâtir, traçant les plans, et surveillant l'exécution des constructions.

  • Partie inférieure de l’entablement.

  • Ensemble de nobles.

  • Groupe et théorie de l’art créés en 1930 par Théo VAN DOESBURG, Otto Gustav CARLSUND, Jean HELION, Léon TUTUNDJIAN et Marcel WANTZ. Par l’emploi des mathémathiques et l’utilisation d’une démarche rationnelle, ils réclament que l’oeuvre d’art soit issue d’une conception mentale, que sa réalisation s’opère à partir d’éléments plastiques élémentaires (lignes, plan, surface, couleur,etc.) et ce de manière mécanique, chassant ainsi l’émotion. De cette façon, l’art s’appuie sur un monde concret répondant à l’exigence de clarté et de rigueur.

  • Les arts décoratifs sont pratiqués par les métiers d'art traditionnels et par leurs productions ornementales et fonctionnelles. Axés sur la fonctionnalité, le statut des œuvres prend son sens général dans la réponse à une commande extérieure.

  • Qui est mis en musique pour être chanté, joué sur une scène.

  • Nom le plus généralement donné au mouvement de rénovation des arts décoratifs et de l'architecture survenu en Occident vers la fin du XIXe siècle.

  • Art plastique / Art décoratif : Les arts plastiques sont un langage, une expression par les formes, les volumes, les couleurs, les matières, les matériaux,… Ce sont des techniques comme la photographie, la peinture, le dessin, la gravure, la sculpture … Plastique = Forme. Les arts plastiques sont une forme de la culture valorisant la pratique, la réflexion culturelle et esthétique, l’expérimentation personnelle ou collective qui participe à la formation d’une pensée et d’un regard construit et critique sur les formes d’une société.

  • Discipline qu'une personne s'impose pour tendre vers la perfection dans le domaine religieux ou spirituel

  • œuvre constituée d’éléments naturels ou manufacturés, d’objets ou de fragments non compris en tant que matériaux artistiques réunis pour former un tout.

  • œuvre constituée d’éléments naturels ou manufacturés, d’objets ou de fragments non compris en tant que matériaux artistiques réunis pour former un tout.

  • Élévation de la Sainte Vierge au ciel après sa mort. Dans le calendrier chrétien, l’Assomption est célébrée le 15 août. Cette date correspondrait à la consécration à Jérusalem de la première église dédiée à Marie au Ve siècle.

  • Athéna est une déesse, fille de Zeus. Dans le Panthéon des dieux de l'Olympe, elle tient une place importante. Elle est la déesse de la Cité, de la Sagesse. Athéna symbolise la civilisation grecque au cours des siècles, jusqu'à nos jours.

  • En architecture, un atlante est une statue d’homme qui soutient un entablement ou une corniche. L’Atlante est une variante masculine de la cariatide. Les atlantes sont représentés debout ou agenouillés, et sont employés dans certains temples grecs. Dans les temples romains, ces figures sont plus communément appelées télamons.

  • L'aulos est un ancien instrument de musique à vent utilisé notamment en Grèce antique. Le musicien est appelé un aulète. Le terme aulos est traditionnellement traduit par « flûte (double) », mais il est plus proche du hautbois. Selon la légende, l'aulos est inventé par Athéna pour imiter le thrène funéraire de Méduse ; la déesse le jette ensuite au loin, s’étant aperçue que souffler dans l'instrument déforme ses traits. L’aulos est récupéré par le satyre Marsyas qui l’utilise dans son concours contre Apollon, qui joue de la lyre.

  • Instrument de musique appartenant à la famille de vents et des bois. Très utilisé dans la Grèce antique, il apparaît dans de nombreuses représentations. Mal traduit, l’aulos devient souvent une flûte dans les textes en français. Or, c’est un ancêtre du hautbois ; son anche double et son corps cylindrique terminé par un pavillon en témoignent. Il s’oppose donc aux syrinx et autres flageolets des bergers. Il peut être joué en simple ou en double par une même personne. Dans le second cas, le musicien place les deux anches dans sa bouche. Le dispositif en double se nomme diaule. Les aulètes, musiciens qui jouent de l’aulos, parviennent à obtenir un son continu, sans aucune interruption en pratiquant la respiration en cycle. Avant de manquer d’air, ils gonflent leurs joues et, tout en évacuant le peu d’air contenu dans la bouche, respirent par le nez et… reprenne le processus de la soufflerie pulmonaire. L’aulos vient probablement d’orient et, selon la mythologie, c’est Athéna qui l’aurait inventé puis délaissé car la technique de jeu lui déformait le visage. Le satyre Marsyas aurait repris l’instrument divin et aurait été défié à une joute instrumentale par Apollon. Avec les percussions, l’aulos est l’instrument qui est utilisé lors du culte à Dionysos. Il est à considéré comme un instrument spécifiquement dionysiaque.

  • Dans la religion chrétienne, l’auréole est une aura lumineuse, représentée sous la forme d’une cercle ou d’un disque, servant à indiquer la sainteté et le caractère sacré de la personne représentée.

  • Tertre, table exhaussée sur lesquels on déposait les offrandes à la divinité, on offrait les sacrifices aux dieux. Dans l'Église catholique, l'autel est l'endroit où l'on célèbre la messe; il a généralement la forme d'une table.

  • Groupe, mouvement novateur dans le domaine des idées, des arts, des sciences, des techniques qui rompt avec la tradition, qui entend donner une impulsion au développement des idées.

  • Groupe, mouvement novateur dans le domaine des idées, des arts, des sciences, des techniques.

B

  • Fêtes religieuses célébrées durant l’Antiquité, liées aux Mystères dionysiaques, elles étaient célébrées en l’honneur du dieu Bacchus, dieu du vin de l’ivresse et des débordements.

  • Sorte de petit pilier, élément de barreaudage d'une balustrade, en général tourné et composé d'un piédouche, d'une panse, d'un col et d'un chapiteau.

  • Qui est caractéristique de la période qui a suivi la Renaissance classique

  • Sculpture adhérant à un fond, sur lequel elle se détache avec une faible saillie.

  • Nom qu'on donne à une église principale.

  • Le bassin hydrographique désigne généralement un grand bassin versant, consistant en une zone géographique correspondant à l'aire de réception des précipitations et d'écoulement des eaux, tant les eaux de surface et que les eaux souterraines vers un cours d'eau.

  • Ouvrage de fortification, généralement de forme pentagonale, faisant partie de l'enceinte du corps d'une place, présentant en saillie deux flancs et deux faces.

  • Bâtiments s’ordonnant autour d’une église.

  • Style de chant conforme aux règles de l'opéra italien des XVIIème et XVIIIème siècles.

  • « La Belle Époque, ces quatre décennies d’une beauté étourdissante entre la guerre franco-allemande et la Première Guerre mondiale, fut une foire surabondante de l’amusement, et son centre, le symbole de sa survie, était la ville Lumière, la métropole Paris. Les Nouveaux Riches, les Barons de l’industrie, les Banquiers, les Seigneurs du commerce mondial et de l’Exposition universelle démontrèrent au monde, à l’apogée euphorique de l’ère industrielle, qu’on pouvait tout avoir avec l’argent, et que parmi les accessoires du plaisir, deux choses surtout étaient à vendre : l’amour et l’art. » François Malherbe, La Belle Époque, p. 35.

  • Religieux, religieuse appartenant à l'ordre de Saint-Benoît.

  • Petit bassin ou vase destiné à contenir l’eau bénite.

  • Par extension, on appelle bestiaire une œuvre consacrée aux bêtes. Le bestiaire d'un auteur ou d'un ensemble d'œuvre désigne les animaux mentionnés par l'auteur ou dans ces œuvres.

  • Outil préhistorique taillé sur les deux faces de façon à obtenir un objet symétrique. Le biface, qui apparaît en Afrique de l’Est il y a plus de 1,5 millions d’années, est l’outil emblématique de la culture acheuléenne.

  • On considère le Jazz comme étant une musique binaire qui se pulse ternaire. Cela veut dire que dans la majorité des cas, elle s’écrit à 4 temps (4/4) mais avec une pulsation dans laquelle les croches sont jouées de façon ternaire. Deux croches = Noire-croche en triolet. Illustration à la guitare.

  • L'ensemble de ce qui compose l'écu armorial / héraldique.

  • Nomade vivant dans des roulottes et se livrant à diverses activités artisanales.

  • Fenêtre en saillie sur le mur d’une maison.

  • Louis (Ludovic) Bréa (vers 1450-1523) est la plus grande illustration de l’école niçoise de peinture, dite des "Primitifs", dont les tenants travaillèrent entre le début du XVe et le milieu du XVIe siècle. Issu d’une famille de tonneliers de Nice, Louis et, plus modestement, son frère Antoine ouvrirent dans la région qui va d’Avignon à Savone la voie à la Renaissance, échappant progressivement à l’emprise gothique. Quoique sa formation demeure inconnue, on décèle dans la peinture de Louis Bréa de complexes influences flamandes comme italiennes.

  • Dôme en forme d’oignon. Les bulbes sont typiques de l'architecture musulmane ou baroque ; associés au plan cruciforme des églises en Grèce et en Russie, ils donnent un caractère oriental aux édifices.

C

  • Organisation d'une image délimitée par les quatre bords de la fenêtre de prise de vues. Par extension, composition visuelle résultant de cette opération qui met en cause à la fois la focale de l'objectif utilisé, la profondeur de champ, l'angle de prise de vues, la distance de l'appareil à l'action, la composition de l'action elle-même et les mouvements de l'appareil relativement à ceux de l'action.

  • Désigne en Provence, une rue en pente pavée de galets ou empierrée de pierres calcaires. Dans les campagnes le terme était également employé pour désigner les sols de cours de maisons ou encore les sols d’écuries.

  • Technique picturale consistant à n'employer qu'une seule couleur (exceptionnellement deux) avec des tons différents.

  • Qui a rapport aux cloches.

  • Clocher à jour ; petite tour ouverte et légère, souvent isolée, servant de clocher.

  • Partie d’un édifice destinée à abriter des cloches.

  • Grand chandelier à plusieurs branches.

  • Chapeau de femme à bords très larges, le plus souvent fait de paille ou de crins.

  • Trouve son origine du latin quadragésime, période de quarante jours pendant laquelle les chrétiens devaient consommer de la cuisine maigre, jusqu’à Pâques, fête qui célèbre la résurrection du Christ. La période de Carême s’ouvre avec le Mercredi des Cendres et culmine durant la période qui précède Pâques, la Semaine Sainte.

  • Statue de femme tenant lieu de colonne ou de pilastre et soutenant sur sa tête une corniche, une architrave ou bien un balcon. Le nom fait référence à celles qui figurent sur le baldaquin de l’Érechthéion, sur l’Acropole d’Athènes.

  • Les hommes et les femmes qui travaillent chaque année à la confection et la fabrication des « grosses têtes », des chars et des sujets qui défileront pendant le Carnaval. Les savoir-faire du carnavalier niçois sont nombreux, il est à la fois sculpteur, peintre, mécanicien… Afin de concevoir et d'élaborer les sujets et thèmes des différents chars de carnaval et des personnages qui allaient sur les Corsi, les carnavaliers niçois faisaient appel à des artistes « imagiers ». Ces artistes puisaient leur inspiration dans l'imagerie populaire de carnaval ; personnages mythiques et allégoriques, satire locale, pastiches des événements politiques et sociaux,. Les plus grands artistes imagiers du carnaval de Nice furent Alexis Mossa, l'un des créateurs du carnaval actuel, et son fils, Gustav Adolf Mossa, « imagier du Roy Carnaval » pendant près de 60 ans. Plus tard, cette imagerie s'ouvrira à des artistes, dessinateurs, humoristes et caricaturistes extérieurs à l'univers carnavalesque niçois, qui tenteront d'insuffler un nouveau style à cet art traditionnel.

  • Mélange de papiers, de pâte à papier et de colle, pouvant être moulé. C’est le matériau traditionnel des « grosses têtes ».

  • En architecture, un cartouche est un ornement destiné à encadrer et à recevoir une inscription comme une devise, une épitaphe, des armoiries ou encore un motif ornemental.

  • Chanteur castré dans son enfance pour qu'il conserve sa voix de soprano.

  • Du latin, employé pour désigner les emplacements de villes fortifiées ou des camps romains.

  • Construction en estrade dressée au milieu d'un lieu de culte ou de la maison mortuaire, pour recevoir le cercueil pendant la cérémonie funèbre ou symboliser celui-ci pendant une cérémonie commémorative.

  • Se dit de l'église épiscopale d'un diocèse.

  • Catherine d'Alexandrie, fille du roi d'Alexandrie, remarquablement belle et instruite, elle eut la vision de l'Enfant Jésus, porté par la Vierge, la choisissant pour fiancée, mais lui demandant d'embellir son âme. Elle se convertit, et essaya de s'améliorer pour plaire à Jésus. Jésus la trouva enfin belle et Marie leur passa la bague au doigt, scellant le mariage mystique. Elle ne pensa plus qu'au martyre pour rejoindre son époux céleste. Elle fut martyrisée vers 305 ou 310, dans une machine infernale composée de quatre roues armées de pointes et de scies tourant en sens inverse. Patronne des jeunes filles, des filles à marier, des étudiants, des meuniers, des modistes, des philosophes, des rémouleurs, des tanneurs, des tourneurs. Nom issu du grec "katharos" (pur). Représentée avec une roue.

  • Dans la mythologie, les Centaures sont des hybrides mi-hommes mi- chevaux. Sanguinaires et fiers, les centaures ne vivent que pour la guerre.

  • Art de façonner, technique de fabrication des objets à partir de l’argile. Céramique émaillée: du grec « keramos » : argile. La céramique est un art pratiqué depuis la préhistoire. Elle est née de la transformation sous l’action du feu d’un matériau (terre universellement répandue) : l’argile. L’émail est un enduit vitrifiable posé sur la céramique pour la rendre imperméable et brillante.

  • Jules César (Caius Julius Caesar IV) est un général, homme politique et écrivain romain, né à Rome le 12 juillet en 101 av. J.-C. et mort à Rome le 15 mars en -44 av. J-C. Il est donc mort à 56 ans. Après une carrière politique classique, il forme avec Pompée et Crassus le premier triumvirat. Conquérant de la Gaule, il s'oppose à Pompée et au Sénat. Devenu seul maître de Rome, il y entreprend des réformes importantes, en grande partie favorables aux classes populaires. Il est assassiné en 44 av. J-C. par des conspirateurs dont son fils adoptif, Brutus, alors qu'il s'apprête à rétablir la monarchie. Son petit-neveu et héritier, Octave, sera le premier empereur romain.

  • Portion d'espace comprise à l'intérieur des limites du cadre et donc visible à l'écran. L'espace cadré du cinéma est toujours infirme d'une dimension: celle du sixième mur virtuel à partir duquel on filme les cinq autres. Le retournement à 180° du cadre, qui révèle le point de vue complémentaire du champ, en propose le contrechamp.

  • Figure de montage qui fait se succéder de façon systématique le champ et son contrechamp. On l'emploie particulièrement pour alterner les plans sur deux personnages lorsque ceux-ci se font face.

  • Chandelier destiné à soutenir le cierge pascal, symbole du christ ressuscité ; il est habituellement élevé et orné, et reste dans le sanctuaire depuis la Vigile pascale jusqu’au soir de la Pentecôte.

  • (Du latin cappa : " manteau ") Petits oratoires indépendants (chapelle des morts, etc.) ou certaines parties d'une église (chapelle absidial, du chœur, etc.). Lorsque celles-ci sont situées sur les bas côtés, on parle alors de chapelles latérales.

  • (Du latin capitellum : " petite tête ") Tête de colonne, pilier, pilastre au point de jonction du support et de la charge. Partie située en haut de la colonne et qui soutient l'entablement.

  • Chapiteau alliant les volutes de l’ordre ionique aux feuilles d’acanthe de l’ordre corinthien.

  • Cortège lors duquel musiciens et passants faisaient du bruit avec toutes sortes d’objets ou d’instruments rudimentaires. Cette coutume avait lieu au moment du cycle de carnaval-carême mais pouvait également se pratiquer en dehors de cette période. Il s’appliquait en cas de remariage d’un veuf ou d’une veuve. Il s’agissait alors d’un droit perçu par les abbés. Lorsque les époux ne payaient pas cette taxe, ils avaient alors droit à un charivari. Le rituel était toujours le même, il s'agissait de se rendre sous les fenêtres de la victime élue et de provoquer un tintamarre, un charivari.

  • Vêtement sacerdotal utilisé pour célébrer la messe et dont la couleur varie en fonction du cycle liturgique.

  • Chemin que Jésus a parcouru durant les heures qui ont précédé sa mort. Chaque année, durant la semaine sainte, les chrétiens, à travers le monde, rappellent et revivent l’événement de la mort et de la résurrection de Jésus.

  • En architecture religieuse, c’est l'extrémité du chœur d'une église du côté du maître-autel, parce que, dans les édifices au plan en croix latine, le chevet correspond à la partie de la croix sur laquelle le Christ crucifié posa sa tête.

  • Partie de l'église où l'on chante l'office divin, et qui est en tête de la nef.

  • Les choppers, qui apparaissent il y a environ 2,5 millions d’années, sont les plus anciens outils connus. Les choppers sont des galets sur lesquels un bord tranchant a été aménagé par percussion.

  • Un chopping-tool est un galet sur lequel deux bords tranchants ont été aménagés.

  • Nom donné par les musiciens aux improvisations qui suivent l’exposition d’un standard.

  • Nom de Jésus de Nazareth. Du grec Christos. Traduction du mot hébreu Mashiah (en français "Messie") qui signifie "celui qui a été oint". Le mot "Christ" a été progressivement joint à celui de Jésus pour traduire sa nature de Messie et de Fils de Dieu (selon les chrétiens).

  • Partie de l’église où officient les prêtres, le prolongement, généralement carré, de la nef centrale, par-delà la croisée du transept : c'est là que s'élève l'autel et que commence l'abside.

  • Vase sacré, généralement fermé d’un couvercle, où l’on conserve les hosties consacrées pour la communion des fidèles.

  • En muséographie, la cimaise désigne l’ensemble du système d’accrochage et du dispositif qui permet d’agencer les supports d’une toile sur un mur sans perforer ce dernier de crochets ou pitons.

  • Procédé qui permet d'avoir un format de projection très élargi.

  • Organisme qui se charge de rassembler et d'assurer la conservation d'œuvres cinématographiques, particulièrement celles qui présentent un intérêt artistique, documentaire ou éducatif. Lieu où sont conservées ces œuvres et où elles sont périodiquement présentées au public.

  • Ordre catholique de religieuses : La règle de cet ordre : moniales cloîtrées, contemplatives, bannissant toute propriété individuelle ou collective.

  • Lucien Clergue est un photographe français né à Arles en 1934. Ses premiers travaux sont marqués par la mort, les bombardements, il photographie les charognes des bords du Rhône, les corridas. Ses rencontres avec Cocteau puis avec Picasso en 1953 seront décisives. Une amitié très forte liera les deux hommes jusqu’à la disparition du maître en 1973. Toute la vie de création artistique du photographe est alimentée par ses amitiés avec le monde artistique. Il découvre et lance le gitan Manitas de Plata avec qui il fera le tour du monde. En 1969, il crée avec l’écrivain Michel Tournier les Rencontres Internationales de la Photographie d’Arles. Il est le premier photographe à entrer à l'Académie des Beaux Arts.

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  • Phototype négatif servant au tirage des épreuves.

  • Dans un monastère le cloître est une enceinte intérieure couverte en forme de galerie entourant un jardin. Le mot cloître vient du mot clôture, c'est-à-dire, un espace clos. C’est un espace carré et fermé ayant pour fonction de desservir les différents lieux centraux d’un monastère entre eux. Il occupe une place centrale et constitue une projection du paradis sur terre. Le cloître est constitué de quatre galeries encadrant un jardin. On trouve souvent deux points d'eau : un puits au centre (destiné à collecter les eaux de pluie) et un lavabo sur l'un des côtés (pour les ablutions). C'est à la fois un lieu de méditation et un lieu de passage.

  • Conservatoire National à Rayonnement Régional
 : Le conservatoire à rayonnement régional de Nice (également nommé conservatoire national à rayonnement régional - Pierre Cochereau) est un conservatoire à rayonnement régional, établissement d'enseignement artistique agréé et contrôlé par l'État. Il propose trois spécialités, musique, art dramatique et chorégraphie. Il est situé à Nice, 127 avenue de Brancolar. Dans le domaine musical, le conservatoire délivre un enseignement concernant les instruments à cordes (violon, alto, violoncelle, contrebasse), les bois (flûtes, hautbois, basson, saxophone, clarinette), les cuivres (cor, trompette, trombone, tuba) ainsi que les instruments polyphoniques (piano, accordéon, guitare, harpe, orgue, percussions). Des classes de chant, d’écriture et de composition musicale, ainsi que des cours de musiques anciennes sont également dispensés. La danse classique et contemporaine font partie de l’offre chorégraphique du conservatoire. L'art dramatique est abordé par des ateliers d'interprétation, de travail vocal et d’improvisation.

  • Artiste multidisciplinaire, Jean Cocteau demeure une figure protéiforme du XXe siècle. Dramaturge, romancier, cinéaste, essayiste, critique, peintre ou encore dessinateur, il fit de la poésie le dénominateur commun d’une œuvre abondante et multiple. Dès sa jeunesse, il écrit des poèmes et s'intéresse aux arts de la scène, notamment aux Ballet russes. A partir des années 1920, Cocteau devient une figure importante de l'avant-garde notamment grâce à ses collaborations au ballet Parade (1917) et au "Groupe des six", qu'il a créé pour promouvoir de nouvelles formes musicales, comme celles d'Erik Satie. Il écrit également beaucoup : poèmes, romans (les Enfants terribles, 1929) et essais autobiographiques (Opium, 1930). Après avoir scénarisé des ballets, il se lance dans le théâtre à partir de 1927 (Œdipe Roi, 1928) puis recommence à écrire des poèmes. Tout en continuant ses autres activités artistiques, il entame, dans les années 1930, une carrière de journaliste et de cinéaste. Il réalise ainsi de nombreux films dont le Sang d’un poète (1930), la Belle et la Bête (1946) et Orphée (1950).

  • Ensemble non fini (le plus souvent classé) d'objets réunis par un amateur, en raison de leur valeur scientifique, artistique, esthétique, documentaire, affective ou vénale.

  • Accumulation de matériel fin déposé en grande partie par décantation des eaux courantes.

  • Rangée de colonnes reliées par un entablement horizontal (sans arcs). Notamment époques baroque et classique. Une des plus célèbres : la colonnade de la place Saint-Pierre de Rome.

  • Support vertical, cylindrique. Elle est parfois utilisée à des fins uniquement décoratives, sans fonction technique. Un seul élément indispensable : le fût. Pilier de section ronde.

  • Colonne dont le fût est torsadé, essentiellement employée à l'époque baroque.

  • Création de Philibert Delorme au XVIe siècle, dans laquelle le fût de la colonne dorique et ionique est interrompu par des bagues.

  • Résidu solide obtenu après distillation de la gemme extraite des arbres résineux et en particulier des pins. Elle sert à ce que l’archet ne glisse pas et que la prise de son soit directe.

  • Personne ayant commandé et financé la construction et/ou la décoration de l’édifice.

  • Nom donné à partir de 1526, à la région de Nice qui constitue alors une division administrative du duché de Savoie.

  • Se dit de plusieurs figures qui ont le même centre.

  • Pièce de musique écrite pour mettre en valeur un ou plusieurs instruments solistes avec accompagnement de l'orchestre.

  • Quand le concile se réunit en 1545 à Trente, en Italie du Nord, l’unité religieuse de l’occident est brisée. A l’origine de la colère de Martin Luther, il y a la vente des indulgences. Le pape prétend pouvoir pardonner les fautes en échange d’argent. Luther s’érige contre cette prétention. En 1563, c’est la fin du concile. L’Eglise réaffirme son pouvoir et son rôle de garant de la croyance chrétienne mise à mal par vingt cinq ans de contestations. Elle serait la seule à pouvoir interpréter les saintes écritures. C’est la fin du concile que le pape avait convoqué pour la première fois en 1545.

  • Lieu ou meuble où le prête écoute les confessions du pénitent et lui donne l’absolution.

  • Ensemble de personnes unies par un lien professionnel, corporatif ou autre.

  • Élément qui supporte une pièce en saillie sur la façade (comme un balcon).

  • Qui touche à quelque chose (un lieu) ; qui est proche de quelque chose par le sens ou le temps.

  • Deux éléments opposés dont l’un fait ressortir l’autre.

  • Instruments à cordes frottées avec un archet.

  • Moulure simple horizontale.

  • Moulure en saillie sur un mur, destinée à souligner les dispositifs de construction horizontaux.

  • Nom d’origine italienne utilisé pour qualifier un défilé de chars carnavalesques, de chars fleuris ou de Grosses Têtes lors de festivités en plein air.

  • Couleurs primaires : cyan, magenta, jaune primaire. Couleurs secondaires : Mélanges des primaires deux à deux : violet ( magenta + cyan) - orange ( magenta + jaune primaire) - vert ( cyan + jaune primaire). Couleurs complémentaires : Cyan/orangé, magenta/vert, jaune/violet ; voir le cercle chromatique. Une couleur est dominante lorsqu'elle est utilisée en plus grande quantité de surface que les autres. Il est courant d'employer des qualificatifs comme : - couleur saturée pour une couleur pure - couleur rompue lorsqu'elle est mélangée à du noir, du gris ou sa complémentaire- couleur rabattue quand elle est mélangée à du blanc.

  • Maison dans laquelle vivent en communauté, sous une même règle, des religieux ou des religieuses de confession chrétienne.

  • Élévation du niveau des eaux d'un cours d'eau, par suite de pluies ou de fonte de neiges.

  • Classe d'animaux Arthropodes ovipares, porteurs de deux paires d'antennes et d'une paire de mandibules, à respiration branchiale, au corps formé de segments munis généralement d'une paire d'appendices.

  • Le cubisme est un mouvement artistique qui s'est développé de 1907 à 1914 à l'initiative des peintres Georges Braque, Pablo Picasso, Jean Metzinger, Albert Gleizes, Robert Delaunay, Henri Le Fauconnier et Fernand Léger. Le terme cubisme provient d'une réflexion d'Henri Matisse, qui, pour décrire un tableau de Braque, parla de « petits cubes ».Le cubisme prend sa source dans une lettre de Cézanne en 1904 : « Traitez la nature par le cylindre, la sphère, le cône, le tout mis en perspective, soit que chaque côté d'un objet, d'un plan, se dirige vers un point central. ». Le Cubisme est un mouvement artistique décisif de l’histoire de l’art contemporain par la conception d’un espace pictural qui ne soit plus une simple imitation du réel. Le Cubisme bouleverse la notion de représentation dans l’art.

  • Subdivision d’une province dans certains ordres religieux, notamment chez les Ordres mendiants (Capucins, Franciscains).

  • Dans la religion chrétienne, le Cycle de la Passion désigne l’ensemble des supplices infligés au Christ précédant sa mort.

D

  • Le dadaïsme est un mouvement intellectuel et artistique qui apparut à New York et à Zurich (1916), se diffusa en Europe jusqu'en 1923 et exerça, par sa pratique subversive, une influence décisive sur les divers courants d'avant-garde.

  • Elle rappelle aux hommes qu’ils sont tous destinés à mourir, sans exception. Parfois représentée avec un violon, la mort paraît séductrice et diabolique. Ce thème a inspiré des compositeurs comme Franz Liszt ou Camille Saint-Saëns.

  • Galerie permettant de circuler autour du chœur d’une église. À l'origine, couloir inventé par Grégoire le Grand pour permettre de circuler autour des reliques.

  • Il s’agit d’intervenir sur un support pour l’orner, l’embellir, On peut décorer un objet en le peignant, en y collant des papiers ... On peut décorer une maison avec des mosaïques, des peintures murales ou des objets.

  • Éclat pompeux des apparences, beauté de l’aspect extérieur.

  • Personne à qui est dédiée une œuvre.

  • Différence d'altitude, de niveau entre deux points.

  • Un style dépouillé est un style sobre sans ornement.

  • dépouiller de son caractère sacré.

  • Peinture dont les pigments sont liés par émulsions naturelles (jaunes d’œuf) ou artificielles (colle de peau, gomme arabique..). La détrempe est également appelée Tempera. Elle représente la technique de peinture principale avant l’apparition de la peinture à huile.

  • Auteur d’un journal intime.

  • Flûte double, à deux corps, de la Grèce antique.

  • Instrument de musique appartenant à la famille de vents et des bois (voir Aulos) ; l’un des aulos joue un seul son en bourdon, l’autre joue la mélodie, le tout fonctionne un peu comme une cornemuse.

  • Dans la mythologie grecque, Dionysos est le dieu de la vigne, du vin et de ses excès ainsi que du théâtre et de la tragédie. Il est le fils de Zeus et de la mortelle Sémélé. Selon les listes, il fait partie ou non des douze Olympiens, bien qu'il ne vive pas sur le mont Olympe : c'est essentiellement un dieu errant. Il a été adopté par les Romains sous le nom de Bacchus.

  • Monument formé d'une grande pierre plate posée sur deux pierres dressées verticalement, qu'on trouve en différentes parties de l'Europe, surtout dans l'Armorique et en Angleterre, qu'on attribue généralement aux druides et aux Celtes, et que d'autres disent appartenir à un peuple antérieur et plus sauvage.

  • Sommet semi-sphérique de certains édifices, en forme de coupole. Le dôme à tambour est un dôme reposant sur un étage cylindrique appelé le tambour.

  • Ordre catholique qui appartient, comme l'ordre des Franciscains, à la catégorie des ordres mendiants. Les dominicains sont des religieux mais pas des moines. Ils vivent dans des couvents et non dans des monastères. Leur vocation étant de prêcher, leurs couvents sont souvent situés dans de grandes villes.

  • L’ordre Dorique est le plus anciens des 5 ordres d’architecture, système défini au cours de l’antiquité grecque et romaine, et redécouvert, en Occident, à partir de la Renaissance. L’ordre dorique est caractérisé par sa simplicité et son dépouillement ornemental. Les colonnes doriques se caractérisent notamment par leur chapiteau à échine plate (nue, sans décors), par leur fût orné de 20 cannelures et par l'absence de base (pour le dorique grec) ; la frise dorique se caractérise par ses triglyphes et ses métopes.

  • Jeu sur deux cordes de deux notes simultanément avec l’archet.

  • Auteur de pièces de théâtre.

E

  • Qui est fait d’éléments très divers, rassemble une grande variété de tendances.

  • L'éclectisme est une tendance en architecture qui consiste à mêler des éléments empruntés à différents styles ou époques de l'histoire de l'art et de l'architecture. Il se manifeste en Occident entre les années 1860 et la fin des années 1920.

  • Qui a la forme d'une ellipse ou une forme approchante.

  • Enduit vitrifiable posé sur les céramiques cuites pour la rendre imperméable et brillante.

  • Sentiment, considéré comme noble, louable, qui pousse à surpasser ses concurrents dans l'acquisition de compétences, de connaissances, dans diverses activités socialement approuvées.

  • Mince couche de terre fine, blanche ou colorée par des oxydes, dont on recouvre une céramique pour la décorer ou en changer la couleur, ou en dissimuler la texture.

  • Ornements, miniatures illustrant les manuscrits, notamment au Moyen-Âge

  • Partie située au-dessus des colonnes ou des pilastres et qui supporte la toiture. Elément d’architecture en saillie placé au-dessus d’un support (colonnes, pilastres) ; il est constitué de trois parties, de bas en haut, l’architrave, la frise et la corniche.

  • Qui dure peu de temps.

  • Adjectif ; qui appartient, relatif à l’évêque.

  • Qui donne son nom à quelque chose, qui porte le nom de …

  • Qui donne son nom à quelque chose, qui porte le nom de ...

  • Personne qui considère l’art comme une valeur essentielle.

  • Ou bel étage, désigne à l’intérieur d’un palais l’étage où se trouvent les pièces de réception dévolues aux invités de marque. L’étage noble se distingue extérieurement par une architecture d’apparat de proportions plus imposantes.

  • Drapeau ou enseigne portant une devise ou une marque servant l’emblème ou de signe de ralliement.

  • Peuple qui vivait depuis l'âge du fer en Étrurie, région de l’Italie ancienne correspondant approximativement à la Toscane actuelle.

  • Science qui a pour objet la recherche de l'origine des mots d'une langue donnée, et la reconstitution de l'ascendance de ces mots.

  • Les quatre livres de la bible (nouveau testament) qui rapportent le message de Jésus.

  • Un ex-voto est un objet, un tableau ou une plaque gravée que l’on suspend dans une église, une chapelle ou un lieu vénéré à la suite d’un vœu exaucé ou en mémoire d’une grâce obtenue. Le terme “ex-voto” est une contraction de la formule latine ex-voto suscepto qui signifie “suivant le vœu fait”, “en conséquence d’un vœu” ou encore “en conséquence d’un vœu par lequel on s’est engagé”. La procédure du vœu se déroule selon trois temps immuables : - l’épreuve tout d’abord, lors de laquelle l’Homme constate sa faiblesse et demande une protection surnaturelle, - la promesse solennelle d’un acte de reconnaissance, - l’accomplissement de cette promesse. La finalité de l’ex-voto est de rendre grâce au saint ou à la divinité invoquée par un vœu. Il rend toujours compte d’un événement et d’une protection que l’on attribue à un personnage céleste. » L’ex-voto est une pratique répandue dans le monde entier. Les sanctuaires et les églises renfermant des ex-voto sont nombreux et chaque œuvre exprime la foi, et témoigne d’un accident de la vie. C’est un art populaire d’artistes anonymes, en remerciement et «gage du vœu fait » qui prolonge dans le temps le lien de protection qui s’est établi entre le Dieu et le fidèle. Les premiers ex-voto remontent aux Phéniciens qui faisaient des offrandes de statuettes aux divinités marines, puis la Chrétienté intègre cette coutume à ses dogmes. Les premiers ex-voto peints voient le jour en Italie centrale au XVe siècle.

F

  • Les instruments de musique sont classés en trois catégories : - les instruments à cordes frottées, pincées ou frappées sont également appelés « cordophones » (vielle à roue, guitare, piano), - les instruments à vent ou « aérophones », mettent en jeu une colonne d’air (voix, bois, cuivres), - les percussions — à hauteur déterminée ou non — dont les « membranophones » c’est-à-dire qu’un corps en frappe un autre (caisse claire) et les « idiophones » dont le son est produit par le matériau de l'instrument lui-même (cymbales).

  • Divinité champêtre représentée avec un torse humain, des oreilles pointues, des pieds et des cornes de chèvre. Chez les Romains, les faunes étaient ce qu'étaient les Satyres (des hommes-boucs) chez les Grecs. Dieux rustiques, avec une figure plus joyeuse, et surtout avec moins de brutalité dans leurs amours. Le pin et l'olivier sauvage leur étaient consacrés.

  • Premier scandale artistique du XXe siècle, le fauvisme est une avant-garde picturale. Au salon d'Automne de 1905 sont regroupés dans la même salle les tableaux de jeunes peintres qu'un critique nomme, par dérision, " la cage aux fauves ". Ils souhaitent libérer la couleur de tout désir d'imitation de la réalité pour renforcer sa force expressive et retrouver la simplicité de dessins d'enfants. Il se caractérise par l’utilisation d’une couleur libérée et violente profonde, une liberté de représentation et un éloignement du principe de ressemblance. On peut citer les peintres Derain, Marquet, Matisse, Vlaminck, Dufy, Van Dongen.

  • La fête des fous est attestée de la fin du XIIe siècle à la fin du XVIe siècle, principalement dans les villes françaises. Elle peut être définie comme une mascarade de Nouvel An, à laquelle les ecclésiastiques participent activement. Elle rappelait les Saturnales romaines. Ces divertissements avaient ordinairement l'église pour théâtre et les ecclésiastiques pour acteurs. Les valeurs établies de la société étaient renversées et la religion était tournée en dérision. La confusion qui résulte de ce mélange entre les registres religieux et populaires de la fête a beaucoup contribué à sa mauvaise réputation.

  • La figuration ou plus exactement l’art figuratif est un style artistique qui se base sur les formes du réel. L’art figuratif s’exprime au moyen de la représentation de la réalité extérieure, par opposition à l’art abstrait.

  • Marque, dessin ou ligne se trouvant dans le corps du papier et que l'on ne voit que par transparence.

  • En architecture, une Folie est une maison de villégiature ou de réception construite à partir du XVIIe et principalement au XIXe par l'aristocratie ou la bourgeoisie aisée en périphérie des villes. Elle répondait dans sa destination et dans sa conception à un caprice de courtisan, qui se faisait un jeu de bâtir l'une de ces maisons dans un laps de temps très court, comme par une sorte de défi de l'argent au temps. Par extension, l'appellation folie a été utilisée pour des résidences princières (ou non) en fonction de leur extravagance architecturale ou du caractère déraisonnable de leur situation ou de leur usage. Le terme est finalement devenu le nom de la petite villa de lotissement de vacances.

  • Ensemble des pratiques culturelles (croyances, rites, contes, légendes, fêtes, cultes, etc.) des sociétés traditionnelles.

  • Les réalisations artistiques en 2 dimensions (longueur, largeur) sont réalisées dans des formats variables. Au XIXe siècle, sont apparus des formats standardisés. En règle générale, le portrait s'exécute sur un tableau vertical dit « Figure », les paysages sur un format horizontal dit « Paysage » , et les marines sur un format horizontal, panoramique, dit « Marine ».

  • Toute musique exclusivement destinée à des instruments ; en opposition à la musique vocale.

  • Ordre religieux catholique né en Italie sous l'impulsion de François d'Assise en 1210. Les membres tentent de vivre une vie de grande pauvreté et simplicité.

  • Roi de France de 1515 à 1547, est né le 12 septembre 1494 à Cognac et mort le 31 mars 1547 à Rambouillet.

  • La fresque est une technique de peinture murale dont la réalisation s'opère sur un enduit avant qu'il ne soit sec. Ceci permet aux pigments de pénétrer dans la masse, et donc aux couleurs de durer plus longtemps. Son exécution se fait très rapidement, entre la pose de l'enduit et son séchage complet. Le terme vient de l'italien « a fresco » qui signifie « dans le frais ».

  • Petite barrette placée en travers du manche de certains instruments de musique.

  • Partie de l’entablement située entre l’architrave et la corniche et généralement décorée.

  • Ornement d’architecture en triangle, au-dessus de l’entrée principale d’un bâtiment, des portes, des croisées. Un fronton à volutes est un fronton dont les remparts présentent une volute (ce qui prend la forme d’une spirale) à l’une ou aux deux extrémités.

G

  • Propriétaire ou gérant d'une galerie d'art.

  • Ce qui est relatif à la Gaule à l’époque de la conquête romaine (IIe siècle av. J-C-Ve siècle apr. J-C).

  • Ensemble de troupes occupant une place, une forteresse pour la défendre

  • Formation, élaboration progressive d’une œuvre littéraire ou artistique.

  • La géodésie est la science, destinée à l'origine au tracé des cartes, qui s'est attachée à résoudre le problème des dimensions, puis de la forme, de la Terre.

  • (Eglise du Gesù): église de Rome. Modèle de l'art jésuite de la Contre-Réforme, son architecture a été une référence pour de nombreuses autres églises de type baroque en matière de distribution intérieure des édifices et d'ordonnancement des façades.

  • L’Église de Jésus à Rome est l'église mère des jésuites. Construite dans l'esprit des décrets du Concile de Trente, pendant la contre-réforme, elle est édifiée avec une unique nef, pour concentrer l'attention des fidèles sur l'autel et l'orateur. C’est un modèle pour les édifices religieux érigés par les Jésuites à travers le monde.

  • Style des derniers siècles du Moyen-Âge (XIIe, XVe siècles. environ) en Europe, dont les caractéristiques varièrent selon les périodes et les arts, connu surtout par ses réalisations architecturales élancées, ouvragées et celles qui leur sont annexes (sculptures, vitraux) mais s'illustrant aussi dans certains arts mineurs (enluminure, orfèvrerie, tapisserie, mobilier en particulier).

  • La peinture gothique est apparue dans les années 1200, environ 50 ans après le début de l'architecture et la sculpture gothique. La transition entre le roman et le gothique est très imprécise mais nous pouvons voir dans les prémisses de ce style une peinture plus sombre et émotionnelle que dans la précédente période. Elle représente notamment le début de la peinture profane, c'est-à-dire la peinture dont les sujets ne sont pas religieux. La peinture gothique s'est développée en Occident (vers 1200 en Angleterre, France, Allemagne …) mais a surtout pris son essor en Italie, vers 1300 (la Pré-Renaissance du Trecento).

  • Phase tardive de l’art gothique qui s’est développée en Europe dès la fin du XIVe siècle ; elle se caractérise par des couleurs intenses et le raffinement des représentations.

  • En Arts, c’est la technique qui consiste à imaginer, réaliser un dessin par la ligne (sous toutes ses formes possibles).

  • Type de gravure en épargne (enlever la matière du résultat final, l'encre se dépose sur les parties non retirées (en relief), le papier pressé sur la plaque conserve l'empreinte de l'encre des reliefs).

  • Famille noble originaire de Gênes, elle descend de Grimaldo, un homme d'État génois de l'époque des premières Croisades, qui devint Consul de Gênes en 1162, 1170 et encore en 1184. La famille Grimaldi possède plusieurs branches dont la plus célèbre est bien sûr celle des princes de Monaco. Les seigneurs d’Antibes sont l’unes des différentes branches de la famille Grimaldi.

  • Les « grosses têtes » sont des mannequins fabriqués en carton pâte dont la tête est souvent plus grosse que le corps et qui accompagnent les grands chars de carnaval, dont les trois chars officiels de Sa Majesté Carnaval, Madame Carnaval et leur fils Carnavalon.

  • Célèbre luthier crémonais du XVIIe siècle. Ses meilleurs instruments datent de 1735. Il reste aujourd'hui une soixantaine de ces derniers dans le monde. Nombre de grands violonistes ont joué et jouent ses instruments : Niccolo Paganini, Isaac Stern, Yehudi Menuhin, Niger Kennedy, Renaud Capuçon…

H

  • Personnage de la mythologie grecque, fils de Cronos et Rhéa. Hadès règne avec sa femme la déesse Perséphone sur les Enfers et le monde souterrain, là où vont les morts.

  • Forme de spectacle qui suppose la participation des spectateurs et qui cherche à faire atteindre à ceux-ci un moment d'entière liberté et de création artistique spontanée.

  • Le "style haussmannien", style architectural typique de Paris, est caractéristique d’une époque qui remodela la capitale pour lui donner l’aspect qui fut le sien à la fin du XIXe siècle, tout au long du XXe siècle et encore de nos jours, le style haussmannien a été baptisé en l’honneur du baron Georges-Eugène Haussmann (1809-1891). Pour embellir Paris, le baron Haussmann, préfet de la Seine de 1853 à 1870, réalisa l’aménagement des bois de Vincennes et de Boulogne, et le percement des grands boulevards. Au commencement du Second empire, Paris tenait encore dans des murs hérités de la Renaissance. Les rues étaient étroites. Pour des raisons de salubrité, de sécurité et de circulation dans une ville dont la population doubla sous Napoléon III, un nouvel urbanisme était indispensable. Cent-trente-sept kilomètres de boulevards furent construits pour constituer les grands axes de la capitale. Le long de ces nouvelles voies, on érigea des bâtiments bourgeois en pierre de taille, ce sont les fameux immeubles dits “haussmanniens”. Les façades de l’immeuble haussmannien sont collées les unes aux autres. L’immeuble haussmannien est généralement haut de quatre ou cinq étages auquel il convient d’ajouter un étage mansardé longtemps destiné à héberger les domestiques. A l’intérieur, les immeubles haussmanniens se caractérisent par leur élégance. On y trouve parfois un escalier en pierre dans les premiers étages, des moulures au plafond, des cheminées et des parquets assemblés avec soin.

  • Roi de France de 1589 à 1610.

  • Hérode Agrippa Premier né vers 10 avant Jésus Christ et mort à Césarée vers 44 av. J.-C. est un prince hérodien, dernier roi juif de Judée. Petit fils d’Hérode le Grand il fut élevé à Rome aux côtés du futur empereur Caligula. Dans les Evangiles il est désigné comme le roi ayant mis à mort l’apôtre Jacques et qui emprisonna l’apôtre Pierre.

  • Se dit de ce qui est composite, disparate, bigarré, divers, mélangé, varié, bizarre, singulier (dictionnaire Le Robert).

  • se dit de ce qui est composite, disparate, bigarré, divers, mélangé, varié, bizarre, singulier.

  • État de ce qui a une origine, une composition disparate et surprenante.

I

  • Une icône culturelle est une figure emblématique qui joue un rôle essentiel dans la construction et le maintien de l’imaginaire social et de l’identité collective. Ce peut être un symbole, un logo, une photographie, une personne, un nom, un bâtiment ou encore une image. Cette icône est facilement reconnaissable et représente généralement un objet ou une idée qui a une signification importante pour un large groupe culturel.

  • Dans la tradition chrétienne catholique et orthodoxe une icône désigne une peinture religieuse sur panneau de bois, souvent rehaussée de métal précieux ou de pierreries à valeur symbolique et sacrée.

  • Relatif à toute forme de représentation visuelle, signe, symbole ou plus précisément à une icône.

  • Dans les arts, une idylle est un tableau d’un genre de vie bucolique.

  • Ce sont les dessinateurs qui réalisent les projets des chars de Carnaval. Les plus grands artistes « imagiers » du carnaval de Nice sont Alexis Mossa et son fils Gustave Adolf Mossa.

  • Système permettant de capter et de transporter les eaux de pluie vers un lieu de stockage.

  • description pour indissociables

  • Amoureux en italien.

  • Caractère de ce qui est étranger à la variabilité du temps.

  • Ordre architectural caractérisé par son chapiteau à volutes et par son fût orné de 24 cannelures et par sa base moulurée. Cet ordre a pour caractère général la grâce et l’élégance.

  • Matériau obtenu à partir de la fibre de bois compressée et utilisé en menuiserie sous forme de panneaux pour fabriquer des cloisons, des plafonds, des meubles.

J

  • Musique née aux Etats-Unis au début du XXe siècle qui se développera tout au long de son histoire sous divers styles : New-Orleans, Swing, Be-Bop, Jazz cool, Free Jazz, Jazz Rock, Jazz Fusion…Cette musique, issue d’un mélange de cultures africaine et européenne, est étroitement liée à l’histoire du peuple Noir américain. Si elle peut être festive et répondre simplement au plaisir de la danse et de la fête, elle illustre aussi parfois les revendications sociales et politiques d’un peuple opprimé, victime de ségrégation raciale, en quête de droits civiques élémentaires.

  • Membre de la Compagnie de Jésus, ordre religieux catholique, fondée par Ignace de Loyola en 1540.

  • De l'hébreu : Yehoshuah "Yahvé est sauveur". Nom du Fils de Dieu qui est "mort en croix pour le salut des hommes", selon les chrétiens.

  • Personnage légendaire condamné jusqu’à la fin des temps à errer : il n’a pas perdu la vie car il a perdu la mort. Marqué par la tradition juive et le folklore russe, Marc Chagall s’en inspire souvent accompagné de son violon.

K

  • Frontons cintrés agglutinés en quinconce comme des ruches (détails emblématiques du style « vieux russe »).

L

  • Qui n’appartient pas au clergé ni à un ordre religieux.

  • Ouvrage rédigée par Jacques de Voragine au XIIIe siècle et racontant la vie des saints.

  • Qui exprime ou qui marque l'abattement, l'engourdissement, la torpeur; qui est dans un état de léthargie.

  • Dans l’iconographie chrétienne le Léviathan est l’un des principaux monstres de l’enfer. Il est représenté à l’époque Médiévale sous la forme d’une gueule immense, ouverte, qui avale les âmes.

  • Peuple qui a envahi l'Europe occidentale à l'époque protohistorique et qui habitait au VIe siècle avant J.-C. le sud-est de la Gaule et le nord-ouest de l'Italie.

  • Instrument à cordes frottées de la Renaissance, à sept cordes pour rappeler les sept cordes de la lyre d’Orphée, les sept planètes, les sept muses… Très présente dans la peinture italienne des XVe et XVIe siècles, elle était pratiquée par des humanistes tels que Léonard de Vinci.

  • Œuvre artistique reproduite à partir d'une œuvre originale conçue pour le procédé de la lithographie, soit à partir d'un dessin, soit à partir d'une pierre préparée par l'artiste lui-même.

  • Relatif à la liturgie. La liturgie désigne l’ensemble du culte public (rites, prières, chants) rendu à Dieu par l'Église, tel qu'il est déterminé ou reconnu par l'autorité compétente.

  • Le livre d'heures était un livre de prière à destination des laïcs qui se répandit à la fin de l'Europe médiévale et qui était utilisé pour la dévotion personnelle. Le texte comprenait un calendrier des jours de fête liturgique, et des séries de prières à réciter huit fois par jour, selon la pratique établie.

  • En architecture, un lobe est une découpe en arc de cercle composant des ornements tels que trèfles, rosaces, notamment dans l'architecture gothique et mauresque.

  • Pièce à l’étage ouverte sur l’extérieur.

  • Cérémonies de purification qui avaient lieu avant l’arrivée du printemps. Les Luperques, prêtes du dieu Faunus, sacrifiaient un bouc à leur dieu dans la grotte du Lupercal où, selon la légende, la louve aurait allaité Romulus et Remus, après avoir découvert les deux jumeaux.

  • Instrument à cordes pincées par un plectre. Considéré comme noble jusqu’au XVIIe siècle, il fut détrôné par le clavecin. Les instruments de la famille du luth sont les théorbes, archiluths et chitarrones.

  • Fabrication d’instruments de musique à cordes frottées et pincées.

  • Personne qui fabrique, répare et restaure les instruments de musique notamment à cordes.

M

  • Atelier de céramique de Vallauris. Picasso visite, en 1946, avec Françoise Gilot, l’exposition annuelle de Vallauris et effectue ses premiers essais chez Suzanne et Georges Ramié (atelier Madoura). De retour, l’année suivante, avec plusieurs dessins et projets, Picasso commence ses premières créations. Séduit par la « ville aux cent potiers », Picasso s’y installe de 1948 à 1955, dans une villa sur les collines : son activité créatrice se répartit, alors, entre son atelier du Fournas où il crée de nombreuses sculptures et l’atelier Madoura pour les céramiques. En 1964, Picasso innove encore avec la transposition en céramique de linogravures, technique expérimentée à Vallauris avec Hidalgo Arnéra. Les lino céramiques sont obtenues par moulage en plâtre du plateau de linogravure, puis surmoulage en terre cuite. Picasso souhaita faire éditer certaines de ces céramiques par l’atelier Madoura avec la volonté affirmée que ces œuvres retrouvent une fonction utilitaire et soient accessibles au plus grand nombre : « J’ai fait des assiettes, on vous a dit ? Elles sont très bien. On peut manger dedans (..) » dira-t-il à André Malraux.

  • Intoxication provoquée par un champignon parasite du seigle.

  • Déclaration écrite dans laquelle un artiste ou un groupe d'artistes expose une conception ou un programme artistique.

  • Nom qu'on donne à un ouvrage de menuiserie, composé de feuilles de différents bois plaquées sur un assemblage, et représentant diverses figures, ou d'autres ornements.

  • Auvent vitré placé au-dessus de la porte d'entrée, du perron d'un bâtiment, ou au-dessus d'un quai de gare, et qui sert d'abri.

  • Martin, né en 316, soldat à 15 ans, se rendit célèbre en partageant son manteau avec un mendiant. La nuit suivante le Christ lui apparut revêtu de la moitié du manteau qu'il avait donnée au mendiant. Il fut baptisé à Amiens en 339, quitta l'armée en 354, et mena une vie de pérégrinations, ponctuées de miracles. Mort vers 397. Son tombeau, à Tours, devint un pèlerinage des plus fréquentés. Patron des fantassins, des maréchaux, des meuniers, des militaires, des piétons, des soldats. Patron de la France. Nom issu du latin "martius" (guerrier). Fête le 11 novembre.

  • Figure, masque décoratif sur une façade.

  • Nom antique de la ville de Marseille, fondée en 600 avant notre ère comme colonie grecque par les Phocéens

  • De l’ancienne Mauritanie, actuel Maghreb.

  • Monument funéraire grandiose, somptueux, ayant la taille d'un véritable édifice, destiné à recevoir la dépouille d'un personnage puissant et éventuellement celles des personnes de sa famille.

  • Instrument à cordes indien en forme de paon.

  • La mer Méditerranée est une mer intercontinentale presque entièrement fermée, située entre l’Europe, l’Afrique et l’Asie. «mer au milieu des terres», en latin mare medi terra. Durant l’Antiquité, la Méditerranée était une importante voie de transports maritimes permettant l’échange commercial et culturel entre les peuples émergeants de la région — les cultures de la Mésopotamie, de l’Égypte, perse, phénicienne, carthaginoise, berbère, grecque et romaine. L’histoire de la Méditerranée est importante dans l’origine et le développement de la civilisation occidentale.

  • 1 : Substance se situant entre diluants et liants, destinée à être mélangée aux peintures et aux encres, afin de les allonger en leur conservant leurs qualités colorantes et siccatives 2 : Support de l’expression artistique. Certains médiums, comme la photographie, le cinéma ont acquis le statut d'art à part entière (au même titre que la peinture, la sculpture ou la musique), et constituent aujourd'hui des catégories autonomes.

  • Animaux gélatineux, souvent équipées de tentacules urticants, qui en font des carnivores efficaces. La forme méduse n’est qu’une phase passagère de leur cycle de vie complexe. De fait, la plupart d’entre elles doivent passer une partie de leur vie sous forme de polype (phase asexuée), sur le fond de la mer, avant de devenir une méduse planctonique (phase sexuée).

  • Dans la mythologie grecque, le minotaure est une créature fantastique, possédant un corps humain et une tête de taureau. Le minotaure serait né des amours de la reine Pasiphaé et du taureau blanc, envoyé par le dieu Poséidon. Enfermé par le roi Minos dans un labyrinthe afin que personne ne découvre son existence, le minotaure sera tué par le héros Thésée.

  • Période de l’ère tertiaire qui s’étend de 23 à 5,3 millions d’années.

  • Aptitude à conserver et à se rappeler des états de conscience passés et de ce qui s’y trouve associé.

  • Le mobilier liturgique est l'ensemble du mobilier utile ou nécessaire à la célébration de la liturgie, et plus généralement à la célébration des sacrements et cérémonies religieuses.

  • Un modèle numérique de terrain (MNT) est une représentation de la topographie (altimétrie et/ou bathymétrie) d’une zone terrestre (ou d'une planète tellurique) sous une forme adaptée à son utilisation par un calculateur numérique (ordinateur).

  • Une des dénominations françaises de l'Art nouveau.

  • Embranchement d'animaux invertébrés, vivant en eau douce ou salée ou sur terre, dont le corps mou.

  • Institution chrétienne regroupant des moines ou des moniales qui vivent sous une même règle, généralement dans la claustration. Bâtiments où réside une communauté de moines ou de moniales et où s'exerce son activité. Monuments historiques : En France un monument historique est un site, un édifice ou un objet bénéficiant d’une protection du fait de son intérêt historique, artistique ou architectural.

  • Désigne l'aspect d'un objet ou d'une œuvre dans laquelle n’intervient qu'une seule couleur.

  • Étude exhaustive portant sur un sujet précis et limité ou sur un personnage.

  • Un monolithe est un bloc de pierre de grande dimension, constitué d'un seul élément, naturel ou taillé voire déplacé par l'Homme.

  • Un monument historique est un immeuble ou un objet qui, comme l'indique le code du patrimoine, présente un intérêt public du point de vue de l'histoire ou de l'art et à ce titre bénéficie d'une protection juridique. Il existe deux types de protection : - Le classement qui s'applique aux édifices présentant un intérêt majeur ; le ministre chargé de la Culture et de la Communication prend les arrêtés de classement sur proposition de la Commission nationale des monuments historiques. - L'inscription au titre des monuments historiques protège les édifices d'intérêt régional ; elle est prise par arrêté du préfet de région après avis de la commission régionale du patrimoine et des sites (CRPS), composée de spécialistes, d'élus, de responsables d'associations et de représentants de l'Etat et des collectivités territoriales. Afin d'assurer le lien entre le patrimoine ancien et le patrimoine contemporain, le ministère de la Culture et de la Communication développe des actions en faveur du patrimoine du XXe siècle et des centres anciens notamment en participant à l'élaboration de secteurs sauvegardés et de zones de protection du patrimoine architectural urbain et paysager. (source Ministère de la Culture et de la Communication).

  • Assemblage fait de petits cubes ou de fragments multicolores de divers matériaux (pierre, marbre, émail, verre, métal, bois, etc.) formant un motif décoratif qui pare le revêtement d'un sol, d'un mur, d'un plafond ou la surface d'un objet

  • Culture préhistorique succédant à l’Acheuléen (entre – 200 000 et – 120 000 ans) et caractérisée par un outillage plus standardisé et des industries sur éclats. En Europe, le Moustérien représente la culture de l’homme de Neandertal (Homo neanderthalensis).

  • Civilisation qui s'est développée en Europe, caractérisée essentiellement par le féodalisme et l'hégémonie de l'Église. Période historique commençant au Ve siècle après J.-C. avec l'effondrement et le morcellement politique et culturel de l'Empire romain et s'achevant vers la fin du XVe siècle. Avec l'essor de la Renaissance italienne, la naissance des nations modernes et la découverte des nouveaux continents.

  • La musique est l’art de combiner des sons entre eux.

  • La période baroque s’étend du début du XVIIe s. environ au milieu du XVIIIe s. Elle se situe entre la période de la Renaissance et du Classicisme. Les deux pôles principaux de la musique baroque sont l’Italie et la France, dont les styles sont fortement opposés malgré des influences réciproques. Quelques instruments sont spécifiquement liés à cette époque : la flûte à bec, le cornet à bouquin, le clavecin, le luth et le théorbe, l’orgue, les violes de gambe et le violon baroque.

  • Petite formation d’instruments où chacun a une partie soliste. L’expression est née à partir de l’époque baroque mais ce petit ensemble existait dès le Moyen-Âge où les musiciens jouaient dans les chambres ou les salons fastueux.

  • Musique de tradition écrite, sous la forme d'une notation musicale par opposition aux musiques populaires et traditionnelles transmises oralement. Elle comprend les musiques classique occidentale, moderne, contemporaine, électroacoustique, expérimentale, minimaliste ainsi que certaines formes du jazz

  • Récit relatant des faits imaginaires non consignés par l'histoire, transmis par la tradition et mettant en scène des êtres représentant symboliquement des forces physiques, des généralités d'ordre philosophique, métaphysique ou social. Évocation légendaire relatant des faits ou mentionnant des personnages ayant une réalité historique, mais transformés par la légende.

  • Orphée, personnage de la mythologie grecque, était un des aèdes de Thrace. Il charmait les animaux par sa musique. Il épousa la nymphe Eurydice. Peu de temps après leur mariage, Eurydice mourut par la morsure d’un serpent. Orphée réussit à convaincre Hadès, le dieu des enfers de laisser repartir Eurydice des Enfers, à la seule condition qu’elle suive Orphée qui ne devait pas se retourner ni lui parler tant que tous les deux ne soient pas revenus dans le monde des vivants. Alors qu’Orphée s’apprêtait à sortir des Enfers, il ne put résister à la tentation de contempler sa bien-aimée, et Eurydice disparut définitivement.

  • La mythologie grecque est l'ensemble des mythes de la Grèce antique. Ces récits, de tradition orale puis transmis par les textes et l'art de l'antiquité, forment la représentation du monde antique. Issus des pays de la Méditerranée, ces récits sont à l'origine de la mythologie romaine.

N

  • Amour excessif de l’image de soi, associant la valorisation de soi de dévalorisation de l’autre.

  • En peinture une nature morte désigne un sujet constitué d’objets inanimés (fleurs, fruits, vases).

  • En architecture, désigne la partie d’une église comprise entre le portail et le chœur dans le sens longitudinal, où se tiennent les fidèles. On distingue les nefs centrales et latérales. La nef est une longue salle allant du portail à l'hémicycle (pour la basilique) ou à la croisée du transept (pour l'église) et qui est fermée par deux murs latéraux. La nef comprend le vaisseau central et les éventuels collatéraux. C'est le lieu principal où se tiennent les fidèles lors des offices. Le mot « nef » signifie au sens premier « navire ».

  • Nègre (Art): terme désignant l’art africain artisanal

  • Terme désignant l’art africain artisanal.

  • Le style néoclassique (de la fin du XVIIIe siècle à 1914 environ) est un courant architectural mû par un idéal d’ordre et de symétrie, caractérisé par des élévations enduites et blanches, uniformisant l’image de la ville. Le style connaît une grande longévité, évoluant dans ses proportions et son ornementation au cours du temps.

  • Style architectural né au milieu du XVIIIe siècle en Angleterre qui s’inspire de l’architecture médiévale remise au goût du jour par certains architectes comme Viollet le Duc.

  • dzada

  • Premier style de Jazz, issu d’un brassage entre musiques militaires, danses européennes, Blues, Ragtime et Negro-Spirituals…

  • violoniste, altiste, guitariste et compositeur italien. Il est souvent évoqué comme étant le plus grand violoniste jamais connu. Il aurait inventé de nouvelles façons de jouer du violon : sauts, bariolages, trémolo, pizzicato de la main gauche, glissando, illustrées au sein de ses Vingt-quatre caprices … même s’il a seulement actualisé ou magnifié dans certains cas des effets déjà existants (trilles, double-cordes, démanché). Son talent d'instrumentiste est tel que beaucoup le prenaient pour le diable. Les deux violons de Paganini sont exposés au Palazzo Doria-Tursi de Gênes, dont « Il cannone » de Guarneri del Gesù.

  • Nom antique de la ville de Nice, fondée vers 250 avant J-C par les Grecs de Marseille, Nikaia signifiant en grec, « celle par qui est arrivée la victoire ».

  • Le mouvement a été fondé en octobre 1960. Il regroupe des artistes qui vont « collecter » et assembler des fragments de leur environnement pour s’approprier le réel, en réaction à l’art abstrait et en réponse à la société de consommation naissante.

  • Divinités féminines, présentent dans de nombreuses mythologies, notamment la mythologie grecque, elles sont associées à la nature et en personnifient les forces vives. Issue de la mythologie grecque, ce sont des divinités féminines de la nature, d’une rare beauté, généralement considérées comme les filles de Zeus et du Ciel, les nymphes grecques peuplent la plupart des lieux : forêts et bois, vallées fertiles et bocages, sources et rivières, montagnes et grottes…

O

  • Objets utilisés dans le cadre de la liturgie chrétienne, comme le calice, le bénitier, ou encore la patène.

  • Qui n’est plus d’usage, qui est tombé en désuétude.

  • Ouverture ronde qu'on trouve notamment dans les remplages des arcatures et des baies.

  • Nervure en diagonale qui soutient la voûte d'une travée

  • Œuvre dramatique lyrique entièrement chantée, interprétée avec accompagnement d'orchestre et mêlée éventuellement de ballets.

  • Ville fortifiée; fortification généralement située sur une hauteur à l'époque romaine et gallo-romaine.

  • Petit monument voué au culte d'un saint ou d'une sainte représenté par une statuette ou par une simple plaque ou une croix. Petite chapelle élevée sur le lieu témoin d’un événement considéré comme miraculeux, ou pour conserver un souvenir religieux.

  • Œuvre lyrique dont le sujet, essentiellement religieux, est développé sous la forme d'un dialogue dramatique faisant alterner chœurs, arias et récitatifs.

  • Ensemble musical formé des trois familles d’instruments: les cordes, les vents (bois et cuivres) et les percussions.

  • Toute entité biologique possédant ou non des organes.

  • Élément ayant une fonction décorative et qui est considéré comme n'étant pas essentiel à l'oeuvre qu'il est censé agrémenter ou embellir.

  • Orphée, personnage de la mythologie grecque, était un des aèdes de Thrace. Il charmait les animaux par sa musique. Il épousa la nymphe Eurydice. Peu de temps après leur mariage, Eurydice mourut par la morsure d’un serpent. Orphée réussit à convaincre Hadès, le dieu des enfers de laisser repartir Eurydice des Enfers, à la seule condition qu’elle suive Orphée qui ne devait pas se retourner ni lui parler tant que tous les deux ne soient pas revenus dans le monde des vivants. Alors qu’Orphée s’apprêtait à sortir des Enfers, il ne put résister à la tentation de contempler sa bien-aimée, et Eurydice disparut définitivement.

  • Qui a une forme semblable à celle d'un œuf.

  • En céramique, les oxydes servent à colorer la pâte ou l’émail. Les oxydes sont particulièrement résistants aux hautes températures de cuisson.

  • Pour obtenir des bases colorées, il vous suffit d'ajouter des oxydes métalliques à un émail blanc ou à un émail transparent.

P

  • Qui s’inspire des religions polythéistes de l’Antiquité.

  • Manuscrit sur parchemin d'auteurs anciens que les copistes du Moyen Âge ont effacé pour le recouvrir d'un second texte. Par extension, on parle parfois de palimpseste pour une œuvre dont l’état présent peut laisser supposer et apparaître des traces de versions antérieures.

  • proposition qui en son fond ou sa forme, contredit des idées reçues, l’opinion courante, les préjugés.

  • Transcription écrite des caractéristiques d’un son. Le premier système de la notation musicale occidentale a été établi par Guido d’Arezzo (992-1050).

  • Dans la religion chrétienne, la Passion désigne l’ensemble des souffrances qui ont précédé et accompagné la mort du christ.

  • Œuvre littéraire ou artistique dans laquelle on imite le style, la manière d'un écrivain, d'un artiste soit dans l'intention de tromper, soit dans une intention satirique.

  • Au sens figuré, ensemble d’éléments disparates, variés.

  • Cour intérieure d'une maison ou d'un immeuble.

  • Créature fantastique de la mythologie grecque, cheval ailé né du sang de la Gorgone Méduse décapitée par le héros Persée.

  • Les villages accueillent donc volontiers les peintres itinérants qui passent d'un versant à l'autre, d'une vallée à l'autre. Formés en Piémont, ils vont et viennent sur les territoires de la Maison de Savoie ou bien émigrent en Provence. Entrant ainsi au contact de foyers artistiques brillants (la cour de Savoie, le marquisat de Saluces, les sièges des évêchés côtiers, les grands couvents ligures...), ces peintres ont une culture composite. Perpétuant volontiers des traditions d'ateliers, ils sont ouverts aux apports extérieurs. Mais, passant des centres à la périphérie, des villes aux zones rurales, leur manière peut devenir répétitive. Sur les routes de la montagne, ils n'ambitionnent pas de réaliser des « œuvres d'art », mais de répondre aux attentes spirituelles des populations par l'exercice de leur métier.

  • Lieu où se rend un pèlerin par piété, voyage d’un ou plusieurs fidèles d’une religion vers un lieu consacré.

  • Une confrérie de pénitents réunit des hommes et des femmes de religion catholique, dans le but de pratiquer publiquement le culte catholique, en portant une tenue spécifique, et de pratiquer des actes de charité.

  • Ce qui s'étend autour d'une surface délimitée.

  • Galerie de colonnes faisant le tour extérieur ou intérieur d’un édifice, en dehors de son mur d’enceinte, ce qui le distingue de la loggia ou de la colonnade.

  • Auguste Perret est un architecte a contribué à définir les fondements d’une nouvelle architecture pour le XXe siècle. Ses réalisations se caractérisent notamment par l’utilisation du béton armé, auquel il confère une nouvelle esthétique. Architecte proche des artistes et intellectuels de son temps, il s’appropria les idéaux du classicisme « moderne », tout en restant influencé par le rationalisme. (Source : cité de l’Architecture & du Patrimoine).

  • Peuple antique, originaires des côtes de Phénicie, région correspondant approximativement à l’actuel Liban.

  • Peuple originaire de Phocée, ville de la Grèce Antique, qui implanta une colonie en Gaule, à l’actuel emplacement de Marseille et fonda la ville en 600 avant J-C.

  • Qui produit en photographie ou au cinéma, un certain effet esthétique révélé et amplifié par l’image.

  • Chaque image isolée d’un film.

  • La photogrammétrie est une technique qui consiste à effectuer des mesures dans une scène, en utilisant la parallaxe obtenue entre des images acquises selon des points de vue différents. Actuellement, elle exploite de plus en plus les calculs de corrélation entre des images désormais numériques. Cette technique repose entièrement sur une modélisation rigoureuse de la géométrie des images et de leur acquisition afin de reconstituer une copie 3D exacte de la réalité.

  • Dans l’architecture chrétienne, le phylactère est un élément graphique semblable à une banderole, où sont inscrits les paroles des personnages que l’on représente. Souvent considérés comme les ancêtres des bulles de bande-dessinée, les phylactères ont également d’autres fonctions que l’émission du son. Ils peuvent par exemple servir à identifier un personnage ou encore à expliciter le sujet de l’image.

  • Artiste espagnol né à Malaga en Espagne en 1881 et mort à Mougins, en France en 1973. À la fois peintre, sculpteur ou encore dessinateur, il est, avec George Braque, le fondateur du Cubisme et pilier de l’art Moderne. Il est considéré comme l’un des artistes majeurs du XXe siècle.

  • Qui est propre à la peinture.

  • Peinture ou sculpture représentant la vierge éplorée tenant le corps de son fils à la descente de la croix.

  • Marmite en provençal.

  • Pilier rectangulaire en saillie sur un mur; purement décoratif. Il peut comporter un chapiteau. Un pilastre cannelé est un pilastre qui comporte plusieurs cannelures sur son parement, c’est-à-dire des formes de sillons ou de stries creusés.

  • Pincement des cordes avec l’index de la main droite.

  • Espace construit sensiblement au niveau du sol extérieur.

  • Espace construit sensiblement au niveau du sol extérieur.

  • Suite continue d'images résultant d'une prise de vues ininterrompues. C'est l'unité de base du montage, longue d'au moins une image, seulement limitée par la longueur d'un chargeur de pellicule ou d’une cassette de bande vidéo. On notera que ce qui peut apparaître comme un seul plan à la projection résulte parfois de l'assemblage de plusieurs plans reliés entre eux par des raccords invisibles ou des trucages.

  • De batture équivalente à une stalactite ou une stalagmite, un plancher stalagmitique se présente sous la forme d’une nappe de calcite recouvrant la surface d’une grotte et dont l’épaisseur peut être importante.

  • Ensemble d'organismes vivants aquatiques incapables de s’opposer aux courants et dont la distribution spatiale dépend, par conséquent, des mouvements des masses d'eau.

  • Qui concerne le plancton.

  • Le désir de classification amène à proposer un système de désignation des cadrages qui se fonde le plus souvent sur le type d'inscription du corps humain dans le cadre, système assez proche de celui qui désigne traditionnellement le rapport du cadre au sujet en peinture. Du cadrage le plus serré jusqu'au plus large, on distinguera ainsi:
 - le très gros plan, qui isole un détail comme un œil, une bouche - le gros plan, qui isole une partie du corps comme la tête ou les mains - le plan rapproché, qui cadre le buste aux épaules ou à la poitrine - le plan américain, qui coupe le corps à mi-cuisse - le plan moyen, qui cadre le corps en pied - le plan de demi-ensemble, qui inscrit le corps en position privilégiée dans le décor qui l'environne - le plan général ou d'ensemble, qui privilégie l'ensemble du décor.
 Cette classification grossière, mais très utile, se révèle peu opérante lorsque le cadrage bouleverse les normes convenues ou qu'il ne s'intéresse pas prioritairement au corps humain.

  • Nom de la marque commerciale déposée d’une mousse réticulée à cellules fermées faite de polyéthylène. La mousse Plastazote présente les propriétés suivantes : inerte et légère, elle possède une bonne capacité d’absorption des chocs variant selon l’épaisseur et la densité de la mousse, une bonne résistance aux produits chimiques et à l’eau de même qu’une bonne stabilité à l’égard des rayons ultraviolets.

  • Matière plastique dure, transparente et incassable employée soit comme verre de sécurité (notamment dans l'industrie aéronautique et dans l'industrie automobile), soit dans la fabrication d'objets divers.

  • De plusieurs couleurs.

  • Qui offre des apparences, des formes diverses.

  • Pompée le Grand est un général et homme d'État romain, né le 29 septembre de l'an 106 av. J.-C. dans le Picenum, en Italie et mort assassiné le 28 septembre de l'an 48 av. J.-C. à Péluse, près d'Alexandrie, en Égypte.

  • Préfet romain de la Judée au premier siècle. Sous la pression des chefs religieux et de la population, il condamna Jésus à la crucifixion.

  • Zone portuaire libre dans laquelle on peut décharger, entreposer et réexpédier des marchandises librement.

  • Galerie ouverte soutenue par des colonnes.

  • Ornements d'architecture classique initialement en pierre ; ils prennent la forme d'un vase terminé par une flamme.

  • Roche sédimentaire comportant une part importante de galets.

  • Proposition, prescription énonçant un enseignement, une conduite à suivre, une règle (ou un ensemble de règles) à observer, généralement formulée par une autorité incontestée dans un domaine précis (science, arts, lettres, philosophie, etc.).

  • Partie inférieure d'un retable généralement divisée en plusieurs compartiments figurant une série de petits sujets en relation avec le thème principal.

  • Au XVe s. se développa dans le comté de Nice une école de peinture, dite des « primitifs niçois », marquée par l'influence de l'Italie – surtout de Gênes – et que dominent les noms de Louis Bréa, Jean Miralhet, Jacques Durandi, Jacques de Carolis ; mais un grand nombre d'œuvres sont anonymes. On peut admirer diverses peintures de cette école à Nice, Cimiez, Lucéram, Biot, Antibes.

  • Se dit d’un artiste, un écrivain, qui a une abondante production.

  • Annoncer ce qui va arriver.

  • Vient de la divinité grecque Protée, qui pouvait changer de forme. Désigne ce qui est susceptible de prendre les formes les plus différentes. Qui est de forme diversifiée, d’aspect changeant.

Q

  • Roche siliceuse massive.

  • Ensemble de quatre instruments à cordes frottées comprenant deux violons, un alto et un violoncelle. Il devient le genre le plus en vogue du répertoire de musique de chambre à l’époque classique.

  • Intervalle entre cinq degrés de l’échelle diatonique comprenant trois tons et un demi-ton.

R

  • Outil réalisé en retouchant le bord d’un éclat de façon à le régulariser. Le racloir apparaît dès l’Acheuléen et se généralise au cours du moustérien.

  • Chauve-souris en niçois. La Ratapignata, est avec l’aigle rouge, l’un des symboles du Comté de Nice. Dans l’histoire du carnaval niçois la Ratapignata évoque un incident « légendaire », celui du char de la Ratapignata qui eu lieu durant les festivités de l’année 1875. Cette année-là, le comité des fêtes décerna le premier prix au char dédié à Catherine Ségurane d’inspiration académique, alors que le public avait plébiscité le char de Jean Cuggia des « Ratapignata » pour son côté fantastique. La controverse fut telle que le comité démissionna. En 1876, suite aux incidents qui émaillèrent l’édition précédente, la fête fut scindée en deux défilés, les festivités carnavalesques d’un côté avec batailles de projectiles, dans un style grotesque et populaire, et les défilés de chars fleuris, dans un style plus académique.

  • Objet, généralement utilitaire, élevé au rang d'œuvre d'art par certains surréalistes, sans aucune élaboration. Commencée par Marcel Duchamp, cette démarche a donné naissance à une grande partie des pratiques artistiques actuelles, qu'elles s'en réclament ou s'en défendent.

  • Instrument à cordes frottées du Moyen-Âge creusé dans un même morceau de bois, en forme de poire, souvent monté de trois cordes, utilisé par les ménestriers.

  • Récits dont l’authenticité n’est pas reconnue par l’église.

  • Mouvement de réforme engagé au XVIe siècle par les catholiques pour réagir au développement du Protestantisme.

  • Restaurer ou moderniser un quartier, un immeuble.

  • Mouvement social et culturel, fondé sur un retour aux modèles de l'Antiquité Classique, qui bouleversa la pensée, l'organisation et l'art de la société occidentale au XVe et XVIe siècles; période historique correspondant à ce phénomène. Un des aspects essentiels de la Renaissance en tant que période est le renouvellement des thèmes et de l'art en Europe après le Moyen Âge. La Renaissance ne constitue pas un retour en arrière : les techniques nouvelles, le nouveau contexte politique, social et scientifique permettent aux artistes d'innover. Pour la première fois, l'art pénètre dans la sphère du privé : les œuvres ne sont plus seulement commandées par le pouvoir religieux ou séculier, mais entrent dans les maisons bourgeoises. Alors qu'au Moyen Âge la création artistique était essentiellement tournée vers la religion chrétienne, la Renaissance artistique utilise les thèmes humanistes (tolérance, liberté de pensée, paix, éducation visant l'épanouissement de l'individu, etc.) et de la mythologie antique. L'avancée des sciences profite aux arts : la perspective linéaire et les proportions, l'apparition de la peinture à l'huile, l''emploi de toiles, l'invention de l'imprimerie, les nouvelles techniques de gravure autorisent la reproduction et la diffusion d'œuvres sur tout le continent. Les estampes se multiplient dans les livres et remplacent les précieuses enluminures des manuscrits médiévaux.

  • Description rencontre

  • Réapparition à l'air libre, sous forme de grosse source, d'une nappe d'eau ou d'une rivière souterraine.

  • Les retables se développent à partir du Moyen âge en ayant plutôt une dimension décorative liée à la fonction religieuse. Leur iconographie évoque la vie du Christ de la Vierge et des Saints, mais c'est au XVIIe et XVIIIe siècle que le retable prend de l'importance, il devient une véritable œuvre d'art. Un retable est un système d’images présenté sous la forme d’une construction rectangulaire, qui comporte des décors peints ou sculptés et qui connait un important développement à partir du Moyen-Âge. Un retable est toujours situé dans un lieu de culte, église ou chapelle. Il est destiné à servir de support à la dévotion collective. Il surmonte la table de l’autel sur laquelle le prêtre célèbre la messe. Le retable se présente généralement sous la forme d’un panneau central qui accueille l’image principale, entouré de panneaux latéraux. Lorsque les panneaux latéraux sont mobiles et peuvent se replier sur le panneau central, on parle de volets.

  • En photographie, produit chimique, généralement en solution, utilisé pour rendre visible l'image photographique latente.

  • Faire rebondir l’archet sur la corde plusieurs fois en un coup.

  • Arabesque végétale sculptée ou peinte.

  • Marque et fabriquant de peinture. Ripoliner et ripolinage sont entrés dans les dictionnaires pour désigner l'action d'appliquer une peinture-émail.

  • Style artistique en vogue au XVIIIe siècle, dérivant à la fois du grand style baroque italien et du décor rocaille français, et qui se caractérise par une ornementation foisonnante, asymétrique et lumineuse.

  • On qualifie de Roman, le style architectural, pictural ou décoratif qui s’étend en Europe du début du XIe siècle jusqu’à la seconde moitié du XIIe siècle.

  • Professeur de français, grec et latin au lycée Carnot à Cannes depuis 1921 il commence en 1923 ses recherches archéologiques à Antibes et notamment dans les établissements militaires. Il découvre l’importance des vestiges de l’occupation gréco-romaine dans la région. Il crée la société des Amis du musée d’Antibes, sous le titre de "Groupe ligurien d’Études historiques et archéologiques" qui a pour objet de fonder un Musée historique et archéologique et de travailler à faire connaître le passé de la région. Grand érudit, helléniste et latiniste de formation, il fut le fondateur et premier conservateur du musée Picasso d’Antibes.

  • Chemin reliant la Provence au Piémont, utilisé pour le commerce du sel ; elle est aménagée au XVIIe, XVIIIe siècles et devient la Route royale qui joint Nice à Turin par le col de Tende.

S

  • Dès le troisième millénaire avant Jésus-Christ, il existait une fête d’inversion des rôles dans l’ancienne Babylone. Ces festivités, nommées « Sacées », étaient données en l’honneur de la déesse Anaïtis. Durant 5 jours, les rôles étaient renversés entre les esclaves et leurs maîtres. Lors des Sacées, un condamné à mort devenait roi pendant 5 jours avant d'être exécuté.

  • Qui est propre au sacerdoce, au prêtre, aux fonctions qu'il exerce.

  • Salle attenante à une église, garnie de meubles où sont rangés les vases sacrés, les ornements sacerdotaux, les objets nécessaires au culte, les registres de baptême et de mariage et où les célébrants et le clergé revêtent et quittent les ornements et vêtements liturgiques.

  • De son vrai nom, Simon ou Siméon, fils de Jonas, est originaire de Bethsaide. De condition modeste, il était pêcheur et vivait à Capharnaüm au bord du lac de Tibériade. Disciple de Jésus de Nazareth, il fera partie des 12 apôtres et sera rebaptisé Pierre par le Christ en raison du rôle qu’il va jouer dans l’église « Tu es pierre et sur cette pierre, je bâtirai mon église » (Matthieu XVI, 17). Dans un premier temps, Pierre dirige la communauté chrétienne en Palestine, puis il part ensuite exercer son apostolat en Asie Mineure. Mis en prison par le roi Hérode, il est délivré par un ange. Vers 44 il part pour Rome où il organise l’église romaine dont il sera le premier évêque. Pierre aurait été martyrisé en 64 pendant les persécutions ordonnées par l’empereur Néron. Son corps aurait été enseveli à Rome sous la colline du Vatican. La tradition affirme que l’actuelle Basilique Saint Pierre de Rome fut construite autour de l’emplacement de son tombeau.

  • Animaux de forme cylindrique, transparents et gélatineux, filtreurs de particules dans la colonne d’eau. Leur cycle de vie comprend une phase asexuée solitaire et une sexuée communautaire (chaîne de salpes).

  • Partie de l’église située autour de l’autel, où s’accomplissent les cérémonies liturgiques.

  • Cercueil de pierre dans lequel étaient placés les corps qui n'avaient pas été brûlés.

  • Écrit, propos, œuvre par lesquels on raille ou on critique vivement quelqu'un ou quelque chose.

  • Fêtes célébrées durant l’Empire romain en l’honneur du dieu Saturne, dieu romain de la fécondité agraire. Elles débutaient dans les derniers jours de décembre, afin de célébrer la fin de l’année et le début de la nouvelle. Les festivités se déroulaient sur une semaine entière. Elles étaient la manifestation de la fête de la liberté (libertas decembris) et du monde à l'envers. Jour de liberté des esclaves à Rome, ces derniers devenaient les maîtres et les maîtres obéissaient aux esclaves. Les Saturnales ont laissé des traces au Moyen Âge dans la fête des fous.

  • Qui existe depuis des siècles.

  • Ouverture à trois baies ; la baie centrale, plus haute, est en plein cintre, les deux autres sont rectangulaires.

  • Décoration murale obtenue en appliquant un enduit de couleur claire sur un fond sombre, enduit que l'on gratte avec une pointe afin d'obtenir un dessin.

  • Roche sédimentaire siliceuse.

  • Sculpteur, photographe, céramiste et graveur polonais, membre de la nouvelle École de Paris. Il arrive à Paris en 1929 à l’âge de 17 ans, il lie de nombreuses amitiés : Jean Cocteau, Francis Picabia, Paul Éluard, Robert Desnos et sa compagne Youki Foujita, Max Ernst, Pierre Tal Coat. Il rencontre Pablo Picasso en 1936. Il participe à plusieurs expositions de groupe à Paris et sur la Côte d’Azur. Pendant la Seconde Guerre mondiale, il est arrêté en 1942 en tant que Juif et étranger. Il est déporté à Auschwitz puis à Blechhammer. De retour en France en 1945 et gravement malade, il passe de longs mois de convalescence à Cannes chez son ami Dor de La Souchère, et à Grasse. En 1946, il retrouve Picasso à Golfe Juan, qui, par son entremise, obtient de disposer d'un vaste atelier au musée Grimaldi d’Antibes mis à sa disposition par Dor de La Souchère. Sur les conseils de Picasso, Michel Sima se tourne vers la photographie. Il couvre de façon très personnelle et documente le travail de Picasso. Un livre en résulte, publié en 1948 : Picasso à Antibes.

  • Cousins méconnus des méduses, ils peuvent dépasser les 40 m de long. Tous prédateurs, ils ressemblent à de grands lustres aux nombreuses cloches colorées. Chaque siphonophore est une colonie de milliers d’individus morphologiquement et fonctionnellement spécialisés dans des taches différentes (capture, digestion, propulsion, etc.).

  • Qualité de ce qui se caractérise par une absence d’ornements superflus.

  • Opération consistant à acheter un bien en vue de réaliser un bénéfice de sa revente ultérieure.

  • La chronologie isotopique est fondée sur les variations des températures terrestres moyennes au cours du temps sur la base de la proportion observée des isotopes de l’oxygène contenus dans les sédiments. Valable à l'échelle planétaire, elle a tendance à se substituer aux chronologies locales basées notamment sur les glaciations. Au cours des dernières centaines de milliers d’années, la chronologie isotopique montre une cyclicité du climat qui se traduit par une alternance de périodes froides (80 000 ans environ) et de périodes tempérées (20 000 ans environ). Chacune de ces périodes correspond à un stade isotopique. Concernant la grotte du Lazaret, la période glaciaire comprise entre – 230 000 et – 130 000 ans qui correspond à la période d’occupation de la grotte par les hommes préhistoriques, peut être rattachée au stade isotopique 6.

  • Siège autour du chœur d’une église pour l’usage du clergé.

  • Nom donné aux morceaux de jazz les plus connus par l’ensemble des Jazzmen. On retrouve ces standards dans des ouvrages appelés “Real Books” qui regroupent plusieurs centaines de titres.

  • Monument monolithe ayant la forme d'un obélisque, d'un cippe ou d'une dalle placée en position verticale, parfois orné de sculptures ou de peintures, sur lequel sont gravées des inscriptions commémoratives ou des textes législatifs

  • Antonio Giacomo Stradivari, dit « Stradivarius » (1644 – 1737): fabricant illustre de violons (600), de violoncelles (50), d'altos (12) et de guitares (3). 700 instruments sur le millier fabriqué nous sont parvenus, dont certains dans un état exceptionnel de conservation avec leur montage d'origine. Ses violons coûtent de nos jours plusieurs millions de dollars.

  • Enduit composé de plâtre et de poussière de marbre servant à réaliser des motifs décoratifs. Mélange à base de chaux et de poudre de marbre visant à imiter l’aspect du marbre et généralement utilisé comme enduit.

  • De son nom, Maximilien de Béthune, Duc de Sully, fut l’un des ministres d’Henri IV.

  • Impression de deux ou plusieurs images sur une même surface sensible.

  • Mouvement poétique, littéraire, philosophique et artistique, né en France, qui a connu son apogée dans l'entre-deux-guerres sous l'impulsion d'André Breton.

  • Association étroite et harmonieuse entre des personnes ou des groupes de personnes.

  • Qui permet d’embraser, de saisir d’un même coup d’œil les diverses parties d’un ensemble, qui en offre une vue générale.

T

  • Petite armoire, fixée au milieu de l’autel ou dans un autre endroit d’une église, destinée à recevoir le ciboire contenant la réserve eucharistique.

  • Désigne une œuvre picturale de moyen ou petit format peintes sur un support rigide (toile sur châssis, panneau de bois ou marouflé, carton simple ou encollé), et qui nécessite pour sa réalisation, l'usage d'un chevalet. Elle s'oppose techniquement à la fresque, à la peinture murale, ainsi qu'à la peinture monumentale, qui n'ont pas recours à l'utilisation de ce support.

  • Le tachéomètre est un théodolite, c’est-à-dire un appareil servant dans les mesures d'angles horizontaux et verticaux pour déterminer des directions, mais mesurant en plus les distances.

  • Statuette antique polychrome de terre cuite, aux formes élégantes, représentant généralement une femme ou un enfant.

  • Art de combattre les taureaux, soit dans des combats de mise à mort du taureau (corrida), soit lors de jeux.

  • Animal qui a quatre pattes, par extension c’est un objet, un bâtiment qui repose sur quatre supports.

  • Configuration d’un lieu.

  • La topographie (du grec topos = lieu et graphein = écrire) est la science qui permet la mesure puis la représentation sur un plan ou une carte des formes et détails visibles sur le terrain, qu'ils soient naturels ou artificiels (comme les bâtiments, les routes, etc.). Son objectif est de déterminer la position et l'altitude de n'importe quel point situé dans une zone donnée, qu'elle soit de la taille d'un continent, d'un pays, d'un champ ou d'un corps de rue.

  • Qui est fondé sur le totem; qui est relatif au totem.

  • Nef transversale qui coupe à angle droit la nef principale d’une église et qui lui donne la forme symbolique d’une croix latine.

  • En architecture, c’est une ouverture, un espace construit délimité par deux supports verticaux (piliers, colonnes, arcs, poutres).

  • Effet de tremblement par redoublement très rapide d'une note avec l’archet.

  • Période de prospérité sans précédent qui dura de 1946 à 1975, la France connait un bouleversement majeur de ses structures démographiques, économiques et sociales.

  • Les trois personnes divines dans la religion chrétienne, le Père, le Fils et le Saint-Esprit.

  • Tableau sur trois panneaux dont les deux extérieurs se replient sur celui du milieu.

  • Technique picturale cherchant à reproduire l’illusion de la réalité (relief, impressions tactile, spatiale) ; art d’exécuter ce genre d’œuvres.

  • Espace habituellement sculpté au dessus d’un portail d’église.

V

  • En architecture, un vaisseau est l'espace intérieur d'un bâtiment le plus souvent voûté.

  • Désigne le degré de clarté ou d’obscurité d’une couleur.

  • Vantail (singulier) : partie mobile d’une porte.

  • Sébastien Le Prestre, marquis de Vauban, est un architecte et ingénieur militaire français, nommé maréchal de France par Louis XIV. Il est très connu pour avoir voulu protéger la France de Louis XIV par une ceinture de citadelles : une « ceinture de fer ».

  • Ce qui transmet quelque chose.

  • Ce qui transmet quelque chose.

  • De l’italien veglione, désigne une fête de nuit, souvent costumée.

  • Description VHS

  • description pour vice lomo

  • Victor-Emmanuel Ier de Savoie, né à Turin le 24 juillet 1759, mort à Moncalieri le 10 janvier 1824, fut roi de Sardaigne, prince de Piémont et duc de Savoie de 1802 à 1821.

  • Instrument à cordes frottées du Moyen-Âge. Fidèle compagne des troubadours et des trouvères, elle se tient généralement en appui sur le bras ou l'épaule.

  • La Vierge en majesté (Maestà en italien), est dans l'iconographie chrétienne, une forme de la représentation artistique de la Vierge Marie sur un trône, figure principale dans l’axe central du tableau.

  • Séjour de repos à la campagne, au bord de la mer, à la montagne, dans un lieu de plaisance ou de tourisme.

  • Séjour de repos à la campagne, au bord de la mer, à la montagne, dans un lieu de plaisance ou de tourisme.

  • Instrument à cordes frottées à archet et frettes. De la Renaissance jusqu’à l’époque baroque, la viole est très appréciée pour sa sonorité, comparée à la voix humaine. Sa famille compte sept instruments dont la basse de viole ou viole de gambe et la viole d'amour, tenue à l'épaule. L’introduction du violon dans la musique de cour XVIIe siècle marque son déclin. Sa famille sera peu à peu remplacée par la famille du violon avec l’alto, le violoncelle et la contrebasse.

  • Musicien qui joue d’un instrument avec une dextérité remarquable.

  • Panneau de fragments de verre coloré dont la juxtaposition à l'aide d'un réseau de plomb forme un motif décoratif.

  • Trait de chant, ornement écrit ou non dans lequel la voix module sur une voyelle notamment dans le chant grégorien et dans l'opéra.

  • Motif d'ornementation, constitué par un enroulement en forme de spirale.

  • Couvrement intérieur d'un édifice. Elle a alors la forme d'un arc prolongé.

  • Structure de portée variable composée de quatre quartiers, symétriques deux à deux, reportant les charges vers les quatre appuis d’angle.

  • Voûte en forme de demi-cercle, brisé au sommet.

  • Voûte constituée du croisement de deux arcs en plein cintre.

  • Voûte en forme de demi-cercle.

Z

  • Du grec ancien zoón (animal) et morfé (forme).Qui a ou prend l’apparence d’un animal.